Les sciences spatiales sont vectrices d’indépendance, de croissance économique. Elles s’avèrent indispensables pour gérer l’environnement à l’heure du changement climatique. Les grandes puissances mondiales ont marqué leurs capacités technologiques et économiques à atteindre « l’inatteignable ». Si l’usage des données et du positionnement satellitaires est déterminant dans les politiques gouvernementales et dans la gestion des territoires, toutes les zones du monde ne sont pas logées à la même enseigne. L’Afrique en fait partie, mais elle regagne du terrain progressivement. De l’enseignement à la recherche, en passant par la construction de ses propres satellites et l’ouverture d’agences spatiales et jusqu’au déploiement d’usages concrets pour le SIG, c’est tout un continent qui se positionne, la tête dans les étoiles.
Dossier de 12 pages réalisé par Kim Janiec avec la participation de l'Union africaine, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de Djibouti, le Centre d'information géospatiale et numérique de Côte d'Ivoire, le Programme spatial Sénégalais, Esri France, le Centre spatial universitaire de Montpellier et Fondation Van Allen, ,IGN FI, l'IRD, groupe Modelis, arx iT, etc.
Dossier de 12 pages réalisé par Kim Janiec avec la participation de l'Union africaine, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de Djibouti, le Centre d'information géospatiale et numérique de Côte d'Ivoire, le Programme spatial Sénégalais, Esri France, le Centre spatial universitaire de Montpellier et Fondation Van Allen, ,IGN FI, l'IRD, groupe Modelis, arx iT, etc.