Un rapport d’une réunion début octobre de la commission Données du CNIG confirme l’information publiée par SIGTV.FR après conférence francophone Esri SIG 2018, sur le rôle que pourrait tenir la Députée Valérie Faure-Muntian au sein du futur Conseil National de l’Information Géographique (CNIG).
En effet, actuellement la présidence du Conseil Plénier du CNIG est assurée par le Sénateur Roland Courteau. Lui comme d’ailleurs les différents présidents des commissions du CNIG sont actuellement dans une position singulière puisqu’ils continuent d’être non officiellement actifs suite au dépassement en avril 2018, du terme de leur mandat (le décret du CNIG limite à 5 ans tous les mandats).
L’explication tient dans l’activité très efficace du CNIG sur de nombreux d’actualités (directive INSPIRE, BAN, PCRS, Grace THD, etc.) qui méritent -voire exigent- une réponse immédiate. De plus, le CNIG a engagé il y a plusieurs mois maintenant une réflexion sur son propre devenir et sa réorganisation par un regroupement avec d’autres structures de manière à se positionner d’une manière équivalente à ce qui se fait hors de nos frontières. Et puis, le Premier Ministre Édouard Philippe a mandaté en début d’année la Députée de la Loire, Valérie Faure-Muntian, pour engager une large réflexion autour des données géographiques souveraines. Son rapport publié en juillet dernier pourrait servir (ou pas) de base à plusieurs changements et réflexions et surtout son engagement a séduit nombre d’interlocuteurs.
En conclusion de rapport de réunion, la commission Données souligne ainsi que « l’information géographique a besoin d’interfaces avec le monde parlementaire. Il est proposé à madame la députée de poursuivre son investissement par le biais du futur CNIG en tant que Présidente de la nouvelle structure et de son Plénier, Présidente d’une commission dédiée à la gouvernance et en participant au comité de pilotage de la BAN».
Reste maintenant à voir à quoi ressemblera le futur CNIG (il avait fallu plusieurs années pour créer l’actuel), puis à savoir si dans cette organisation la députée aurait bien une place à tenir et enfin si Valéria Faure-Muntian en acceptera la présidence... À suivre.
En effet, actuellement la présidence du Conseil Plénier du CNIG est assurée par le Sénateur Roland Courteau. Lui comme d’ailleurs les différents présidents des commissions du CNIG sont actuellement dans une position singulière puisqu’ils continuent d’être non officiellement actifs suite au dépassement en avril 2018, du terme de leur mandat (le décret du CNIG limite à 5 ans tous les mandats).
L’explication tient dans l’activité très efficace du CNIG sur de nombreux d’actualités (directive INSPIRE, BAN, PCRS, Grace THD, etc.) qui méritent -voire exigent- une réponse immédiate. De plus, le CNIG a engagé il y a plusieurs mois maintenant une réflexion sur son propre devenir et sa réorganisation par un regroupement avec d’autres structures de manière à se positionner d’une manière équivalente à ce qui se fait hors de nos frontières. Et puis, le Premier Ministre Édouard Philippe a mandaté en début d’année la Députée de la Loire, Valérie Faure-Muntian, pour engager une large réflexion autour des données géographiques souveraines. Son rapport publié en juillet dernier pourrait servir (ou pas) de base à plusieurs changements et réflexions et surtout son engagement a séduit nombre d’interlocuteurs.
En conclusion de rapport de réunion, la commission Données souligne ainsi que « l’information géographique a besoin d’interfaces avec le monde parlementaire. Il est proposé à madame la députée de poursuivre son investissement par le biais du futur CNIG en tant que Présidente de la nouvelle structure et de son Plénier, Présidente d’une commission dédiée à la gouvernance et en participant au comité de pilotage de la BAN».
Reste maintenant à voir à quoi ressemblera le futur CNIG (il avait fallu plusieurs années pour créer l’actuel), puis à savoir si dans cette organisation la députée aurait bien une place à tenir et enfin si Valéria Faure-Muntian en acceptera la présidence... À suivre.