À l’origine de Gexpertise se trouve un cabinet de géomètre-expert dont les archives remontent à 1785. C’est en 2008 que les différentes branches de la société se sont rassemblées en trois départements d ’ ingénierie : Immobilier, Bâtiment & VRD et BIM & SIG. « Nous sommes présents partout en France, avec le siège à Paris et des agences à Bordeaux, Lille, Lyon, Toulon, ainsi qu’à t ravers des partenaires, présente Thomas Largillier, Directeur du département BIM & SIG. Gexper tise est aussi implantée en Tunisie, avec deux agences pour des fonctions de production ou de supports transverses. » Leur coeur de métier, la représentation de l’existant, se base sur un solide patrimoine de données enrichi par les nombreuses évolutions technologiques, juridiques qui gravitent autour du domaine. Avec l’ambition de fournir des images plus justes et plus vraies de bâtiments jusqu’aux parcs immobiliers, le groupe travaille avec des propriétaires d’actifs et des gestionnaires de bâtiments. Quelques 200 personnes se répartissent sur ces activités. Au-delà des notions géométriques et géographiques, les équipes livrent des informations juridiques, énergétiques et structurelles pour répondre aux différents besoins des clients. L’objectif est de rapporter non seulement des données de surfaces, mais sur tout plus globalement la compréhension de l’état de santé du bâti.
C’est au sein du département Immobilier que les géomètres-experts et les ingénieurs se chargent de produire tous les relevés, avec les plans, les documents relatifs au foncier (copropriétés, limites, etc.), aux réseaux enterrés et les diagnostics obligatoires pour les transactions de type DPE ou amiante. « Pour comprendre la structure d’un bâtiment et anticiper son vieillissement, nous avons acquis un bureau d’études qui constitue la branche Bâtiment & VRD. Ici, on y retrouve des maîtrises d’oeuvre, des architectes, des urbanistes, des thermiciens, des économistes de la construction… Et plus globalement, tous les acteurs mobilisés sur des projets de rénovation énergétique. 90 % de nos travaux portent sur des programmes de réhabilitation », avance Thomas Largillier. Gexpertise intervient sur différents types de prestations, il peut s’agir d’audit de résilience, d’audit énergétique ou d’analyse technique du bâtiment ou d’un espace avoisinant. Autant de diagnostics indispensables aux investisseurs et propriétaires pour une aide à la décision sur la planification de la maintenance puis l’adaptation au contexte environnementale et aux réglementations. Ce sont généralement des missions ponctuelles pouvant être suivies dans le temps.
C’est au sein du département Immobilier que les géomètres-experts et les ingénieurs se chargent de produire tous les relevés, avec les plans, les documents relatifs au foncier (copropriétés, limites, etc.), aux réseaux enterrés et les diagnostics obligatoires pour les transactions de type DPE ou amiante. « Pour comprendre la structure d’un bâtiment et anticiper son vieillissement, nous avons acquis un bureau d’études qui constitue la branche Bâtiment & VRD. Ici, on y retrouve des maîtrises d’oeuvre, des architectes, des urbanistes, des thermiciens, des économistes de la construction… Et plus globalement, tous les acteurs mobilisés sur des projets de rénovation énergétique. 90 % de nos travaux portent sur des programmes de réhabilitation », avance Thomas Largillier. Gexpertise intervient sur différents types de prestations, il peut s’agir d’audit de résilience, d’audit énergétique ou d’analyse technique du bâtiment ou d’un espace avoisinant. Autant de diagnostics indispensables aux investisseurs et propriétaires pour une aide à la décision sur la planification de la maintenance puis l’adaptation au contexte environnementale et aux réglementations. Ce sont généralement des missions ponctuelles pouvant être suivies dans le temps.
Des données structurées
Les acteurs de la société génèrent un flux considérable de données sous divers formats (PDF, Excel, DWG) qui reste souvent « très mal intégré dans les systèmes d’informations de nos clients. » Depuis 2016, des solutions d’innovation pour la structuration de cette donnée sont recherchées « pour. qu’elle soit centralisée de manière unique, quelle que soit la profession expertale qui travaille et pour qu’elle soit diffusée en étant intégrable. L’idée est que le client gagne en efficacité de gestion. » Pour ce traitement, deux modèles se sont présentés : le BIM et le SIG. À l’aide de ces technologies, les informations sont structurées dans des bases de données formatées, interopérables et requêtables.
« De cette façon, la base de données légitime le livrable et le client peut l’exploiter plus facilement au sein de ses propres outils. » Partenaire Esri France depuis quatre ans, cette collaboration prend sens dans le cas du partage d’informations brutes, pour les rendre compréhensibles et les formater via la plate-forme ArcGIS. « Son réseau de par tenaires nous permet d’envisager l’adaptation de nos livrables aux solutions métiers de la GMAO aux SIG généralistes. Pour nos clients qui ne disposent pas de ces technologies, nous avons développé un « Atlas patrimonial », précise Thomas Largillier. Il consiste à fournir une projection cartographique frugale, basée sur ArcGIS Online, pour piloter et analyser des stratégies d’investissement, de rénovation et/ou de mise en vente. C’est aussi une offre de stockage d’informations structurée en fonction des besoins métiers. »
« Au-delà de la livraison de plans, de maquettes 3D et de composants SIG, on s’attache à être conseil. C’est un devoir de déterminer quelle est la bonne donnée au bon moment dans le cycle de projets. Nous réfléchissons donc à la forme, au mode de livraison et aux usages. » De la 3D aux éléments fonciers jusqu’aux audits, les informations évoluent et il est inutile de vouloir tout représenter et modéliser au début de projet pour adapter les coûts face aux enjeux. Gexpertise se place ainsi en facilitateur entre clients et fournisseurs de solutions puisque très proche des pratiques et des utilisateurs. Un autre grand enjeu du domaine reste la pérennité, c’est-à-dire la conservation des données dans le temps : « un immeuble correspond à un ensemble d’objets qui passe de main en main. Les infos se perdent facilement dans les phases de transmission, en raison de modèles, d’outils et d’objectifs différents entre les acteurs. Le géomètre demeure souvent la pierre angulaire, le tiers de confiance que nos clients ont dans ces questions de passation. »
Kim Janiec
+ d'infos :
gexpertise.fr
« De cette façon, la base de données légitime le livrable et le client peut l’exploiter plus facilement au sein de ses propres outils. » Partenaire Esri France depuis quatre ans, cette collaboration prend sens dans le cas du partage d’informations brutes, pour les rendre compréhensibles et les formater via la plate-forme ArcGIS. « Son réseau de par tenaires nous permet d’envisager l’adaptation de nos livrables aux solutions métiers de la GMAO aux SIG généralistes. Pour nos clients qui ne disposent pas de ces technologies, nous avons développé un « Atlas patrimonial », précise Thomas Largillier. Il consiste à fournir une projection cartographique frugale, basée sur ArcGIS Online, pour piloter et analyser des stratégies d’investissement, de rénovation et/ou de mise en vente. C’est aussi une offre de stockage d’informations structurée en fonction des besoins métiers. »
« Au-delà de la livraison de plans, de maquettes 3D et de composants SIG, on s’attache à être conseil. C’est un devoir de déterminer quelle est la bonne donnée au bon moment dans le cycle de projets. Nous réfléchissons donc à la forme, au mode de livraison et aux usages. » De la 3D aux éléments fonciers jusqu’aux audits, les informations évoluent et il est inutile de vouloir tout représenter et modéliser au début de projet pour adapter les coûts face aux enjeux. Gexpertise se place ainsi en facilitateur entre clients et fournisseurs de solutions puisque très proche des pratiques et des utilisateurs. Un autre grand enjeu du domaine reste la pérennité, c’est-à-dire la conservation des données dans le temps : « un immeuble correspond à un ensemble d’objets qui passe de main en main. Les infos se perdent facilement dans les phases de transmission, en raison de modèles, d’outils et d’objectifs différents entre les acteurs. Le géomètre demeure souvent la pierre angulaire, le tiers de confiance que nos clients ont dans ces questions de passation. »
Kim Janiec
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