Comme le montrent ces deux images des satellites Copernicus Setinelle3, le Maroc connait actuellement sa sécheresse la plus dramatique depuis 30 ans. Le manque absolu de précipitation a vidé les réservoirs. L’impact sur la végétation et les cultures est dramatique, doublé de graves conséquences sociales (40% de la population travaille dans l’agriculture et économiques (14% du PIB), ce qui risque d’exacerber les tensions avec l’Algérie autour du Sahara occidental.
C’est une illustration très concrète de ce que craint le GIEC dans son 6e rapport. Rédigé par 270 scientifiques à partir de l’analyse de 34.000 études, il est plus alarmiste que jamais sur l’évolution du réchauffement climatique (de +1,5 à) + 5° selon les scénarios) et des effets de la situation climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes.
Les conséquences sont de plus en plus visibles : canicules mortelles, pertes agricoles, manque d’eau, inondations et montée des eaux. Des phénomènes irréversibles, mais qu’il est encore possible de limiter à coup de dixième de réchauffement limité.
+ d'infos :
ipcc.ch
C’est une illustration très concrète de ce que craint le GIEC dans son 6e rapport. Rédigé par 270 scientifiques à partir de l’analyse de 34.000 études, il est plus alarmiste que jamais sur l’évolution du réchauffement climatique (de +1,5 à) + 5° selon les scénarios) et des effets de la situation climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes.
Les conséquences sont de plus en plus visibles : canicules mortelles, pertes agricoles, manque d’eau, inondations et montée des eaux. Des phénomènes irréversibles, mais qu’il est encore possible de limiter à coup de dixième de réchauffement limité.
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