Relancer au plus vite l'action du Conseil national de l'information géographique (CNIG) et préparer d'ici la fin 2021 une proposition de réforme des missions, de la composition et de la gouvernance du CNIG sont les deux priorités fixées par Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, à Bertrand de Monthubert, nommé Président du Cnig le 9 avril dernier.
Cette lettre de mission a été reçue juste avant l'assemblée générale de l'OPenIG qui a réélu, le 11 juin, Bertrand Monthubert en tant que président d'OPenIG. L'association qui gère les données géographiques de la région Occitanie a en effet tenu à maintenir sa confiance envers Bertrand Monthubert. Ce maintien est un parfait écho à l'attente de sa ministre de tutelle : une collaboration entre les différents acteurs des données géographiques à savoir l'État et les collectivités directement installées sur le terrain.
Le nouveau président du CNIG devra aussi lancer une très large concertation pour notamment identifier les sujets prioritaires pour la France et les projets collectifs à mener d'ici 2 à 5 ans. Il aura à se pencher sur le sujet de l'établissement de «communs» et «d'espaces communs» de la donnée en matière de donnée géographique.
Dans un entretien accordé au CLUB SIG (vidéo ci-dessous), le président du CNIG et d'OPenIG déclarait justement « qu'il est essentiel d'avoir une sorte de synergie entre ces différents acteurs (...) dans une action au service de la donnée géographique souveraine». Cette même donnée géographique souveraine apparait comme une notion particulièrement importante du projet de Bertrand Monthubert, ce dernier ayant rappelé l'importance de certains domaines comme le numérique, primordial aujourd'hui souvent insuffisamment vu, mais qui s'ajoute aux dernières nouvelles sur la Transition numérique voulue par l'État.
Le projet de réorganisation du CNIG sera aussi intéressant à suivre, avec notamment l'implication accrue avec l'IGN (dans sa missive, Barbara Pompili met à disposition de Bertrand Monthubert un expert de l'IGN) ou peut-être une relance du rapprochement un temps envisagé avec l'Afigéo ?
+ d'infos :
Lettre de mission pour Bertrand Monthubert
cnig.gouv.fr
Cette lettre de mission a été reçue juste avant l'assemblée générale de l'OPenIG qui a réélu, le 11 juin, Bertrand Monthubert en tant que président d'OPenIG. L'association qui gère les données géographiques de la région Occitanie a en effet tenu à maintenir sa confiance envers Bertrand Monthubert. Ce maintien est un parfait écho à l'attente de sa ministre de tutelle : une collaboration entre les différents acteurs des données géographiques à savoir l'État et les collectivités directement installées sur le terrain.
Le nouveau président du CNIG devra aussi lancer une très large concertation pour notamment identifier les sujets prioritaires pour la France et les projets collectifs à mener d'ici 2 à 5 ans. Il aura à se pencher sur le sujet de l'établissement de «communs» et «d'espaces communs» de la donnée en matière de donnée géographique.
Dans un entretien accordé au CLUB SIG (vidéo ci-dessous), le président du CNIG et d'OPenIG déclarait justement « qu'il est essentiel d'avoir une sorte de synergie entre ces différents acteurs (...) dans une action au service de la donnée géographique souveraine». Cette même donnée géographique souveraine apparait comme une notion particulièrement importante du projet de Bertrand Monthubert, ce dernier ayant rappelé l'importance de certains domaines comme le numérique, primordial aujourd'hui souvent insuffisamment vu, mais qui s'ajoute aux dernières nouvelles sur la Transition numérique voulue par l'État.
Le projet de réorganisation du CNIG sera aussi intéressant à suivre, avec notamment l'implication accrue avec l'IGN (dans sa missive, Barbara Pompili met à disposition de Bertrand Monthubert un expert de l'IGN) ou peut-être une relance du rapprochement un temps envisagé avec l'Afigéo ?
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Lettre de mission pour Bertrand Monthubert
cnig.gouv.fr