En cette fin d'année, 1Spatial propose sa tournée de nouveautés pour la version 2.0 de son logiciel SIG de gestion humides 1Water. Exploitant ArcGIS Enterprise, ce logiciel est composé de deux modules, l’un pour la gestion de l'eau, l'autre pour la gestion de l’assainissement.
Dans cette nouvelle version majeure, les outils web ont été fortement enrichis, comme le précise un communiqué de presse : signalement des erreurs de topologie dans le processus de saisie des réseaux afin de permettre une correction avant intégration, export vers les outils de modélisation (EPANET, SWMM), création dynamique de profils en long, création et gestion des « Points noirs », traçabilité complète des ouvrages grâce à l’ajout de l’historique des interventions dans la fiche de vie.
« Le plus de cette version porte sur la signalisation des erreurs de topologie en web dans le processus de saisie des réseaux, confie Fabrice Mauger, chef de produit. Cela permet de garantir la qualité des données, ce qui est indispensable pour pouvoir ensuite exploiter correctement les informations ».
1Water fonctionne aussi bien en version bureautique que sur le terrain. Côté application de bureau, des améliorations ont été apportées concernant les fonctions d’import, les temps de traitement des exports et la prise en compte des déposes d’ouvrages. Côté mobilité, l’interface conviviale de gestion des anomalies (en eau et en assainissement) et des encrassements s’est enrichie avec la possibilité d’ajouter des pièces jointes, telles que des photos, documents ou messages vocaux. De plus, il est également possible de repositionner une anomalie existante et d’en déclarer sur des ouvrages non représentés graphiquement dans la carte.
D’autres fonctionnalités s’appuyant sur le puissant modèle réseau Utility Network d'Esri ont également été développées pour les utilisateurs sur le terrain, telles que la déclaration et l'historique des coupures d’eau, ainsi que la propagation pour réaliser des traces en amont ou en aval d’un point sélectionné du réseau d’assainissement. Enfin, plusieurs améliorations ont été mises en place côté administration permettant aux administrateurs de configurer plus facilement les applications, paramétrer des formulaires de présentation ou d’édition, tout gérant les groupes d’utilisateurs pour l’octroi des droits métiers.
«Nous continuons d’apporter des évolutions sur le fonctionnel métier, essentiellement en web et en mobilité. Nous allons lepoursuivre dans les prochaines versions», assure Fabrice Mauger.
+ d'infos :
1spatial.com/fr/produits/1water/
Dans cette nouvelle version majeure, les outils web ont été fortement enrichis, comme le précise un communiqué de presse : signalement des erreurs de topologie dans le processus de saisie des réseaux afin de permettre une correction avant intégration, export vers les outils de modélisation (EPANET, SWMM), création dynamique de profils en long, création et gestion des « Points noirs », traçabilité complète des ouvrages grâce à l’ajout de l’historique des interventions dans la fiche de vie.
« Le plus de cette version porte sur la signalisation des erreurs de topologie en web dans le processus de saisie des réseaux, confie Fabrice Mauger, chef de produit. Cela permet de garantir la qualité des données, ce qui est indispensable pour pouvoir ensuite exploiter correctement les informations ».
1Water fonctionne aussi bien en version bureautique que sur le terrain. Côté application de bureau, des améliorations ont été apportées concernant les fonctions d’import, les temps de traitement des exports et la prise en compte des déposes d’ouvrages. Côté mobilité, l’interface conviviale de gestion des anomalies (en eau et en assainissement) et des encrassements s’est enrichie avec la possibilité d’ajouter des pièces jointes, telles que des photos, documents ou messages vocaux. De plus, il est également possible de repositionner une anomalie existante et d’en déclarer sur des ouvrages non représentés graphiquement dans la carte.
D’autres fonctionnalités s’appuyant sur le puissant modèle réseau Utility Network d'Esri ont également été développées pour les utilisateurs sur le terrain, telles que la déclaration et l'historique des coupures d’eau, ainsi que la propagation pour réaliser des traces en amont ou en aval d’un point sélectionné du réseau d’assainissement. Enfin, plusieurs améliorations ont été mises en place côté administration permettant aux administrateurs de configurer plus facilement les applications, paramétrer des formulaires de présentation ou d’édition, tout gérant les groupes d’utilisateurs pour l’octroi des droits métiers.
«Nous continuons d’apporter des évolutions sur le fonctionnel métier, essentiellement en web et en mobilité. Nous allons lepoursuivre dans les prochaines versions», assure Fabrice Mauger.
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